2 février et 16 octobre : décrets inspirés par José de Gálvez étendant la liberté de commerce en Espagne. Treize ports de la péninsule ibérique peuvent participer librement aux échanges commerciaux avec 24 ports de l'Amérique espagnole[1].
Second traité, destiné à rester secret, entre la France et les États-Unis. Au cas où une guerre éclaterait entre la France et l'Angleterre. Aucune des 2 parties ne pourra conclure de paix ou de trêve avec la Grande-Bretagne sans avoir au préalable obtenu le consentement de l'autre.
20 février : le sultan Mohammed III du Maroc réitère sa déclaration du , annonçant que tous les navires battant pavillon américain pourrait entrer librement dans les ports marocains, reconnaissant ainsi publiquement l'indépendance des Treize Colonies américaines[4].
↑Christophe Guillaume de Koch, Maximilian Samson Friedrich Schoell, Histoire abrégée des traités de paix, vol. 3, Bruxelles, Gide, (présentation en ligne)