Il se définit lui-même comme un réaliste naïf, défendant l'idée que la nature est telle que nous la percevons dans notre expérience ordinaire. L'expérience humaine n'est elle-même rien de plus qu'une activité du corps qui interagit directement avec son environnement.
James A. Woodbridge, « Frederick James Eugene Woodbrigge », in J. R. Shook (éd.), The Dictionary of Modern American Philosophers, Bristol, Thoemmes Continuum, 2005, p. 2641-2646.