Il est notamment connu pour son « hypothèse tarsienne »[1] qu'il propose pour la première fois en 1918 et défend jusqu'à sa mort. Cette théorie insiste sur une ascendance distincte, non anthropoïde, de l'espèce humaine. Ainsi, d'après l'auteur, la lignée humaine se serait séparée très tôt de celle des autres singes, à partir d'un ancêtre proche des tarsiers actuels.
Références
↑Pierre Teilhard, « Hypothèses en conflit sur le problème de l'ancêtre de l'Homme », L'Anthropologie, vol. 32, , p. 284.