François Crépin est le fils d'un juge de paix et inspecteur de l'enseignement. Il s'avère un piètre élève à l'école et est confié par ses parents à un précepteur qui lui donne le goût des sciences naturelles. Entré à l'administration de l'Enregistrement et des Postes, il met rapidement fin à cette carrière pour s'adonner, avec l'aval de ses parents, à la botanique.
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Manuel de la flore de Belgique, ou Description des familles et des genres, Bruxelles : E. Tarlier, 1860, 1 vol. (LXXV-236 p.), in-18 [1] (réédité en 1916)
Primitiæ monographiæ Rosarum: matériaux pour servir à l'histoire des roses. 1869–1882
Les roses récoltées par M. Paul Sintenis dans l'Arménie turque en 1889. 1890
Voir Hoste & Hanquart (2018)[3] pour une liste exhaustive des publications de François Crépin.
Denis Diagre-Vanderpelen et Ivan Hoste, « La Guerre des Roses : François Crépin (1831-1903) contre Paul Evariste Parmentier (1860-1941), un antique contre un moderne ? », dans Jahrbuch für Europäische Wissenschaftskultur, vol. 4, 2008, p. 117-159.
Denis Diagre-Vanderpelen, « Traces de fleurs et de floristes : ce que nous apprennent les correspondances de François Crépin (1830-1903), rhodologue, directeur du Jardin botanique de l’État belge », dans Traces du végétal, actes de colloque, dir. Isabelle Trivisani-Moreau, Aude-Nuscia Taïbi et Christiana Oghina-Pavie, Angers, Presses universitaires de Rennes, 2015, p. 83-97 Lire en ligne.
(en) Ivan Hoste et Nicole Hanquart, « The publications of François Crépin(1830–1903). An annotated chronological list », Studium, vol. 11, no 2, , p. 1-53 (DOI10.18352/studium.10171, lire en ligne, consulté le ).