Évincé à deux reprises, en et en , pour ses origines modestes et pour ses idées contestataires, de la chaire de théologie de l'université de Besançon, il s'installe à Dole, où il enseigne la théologie, jusqu'à la Révolution française.
Bien que révolutionnaire, il s'oppose vivement à l'abolition des signes distinctifs de la religion chrétienne du et aux excès iconoclastes des partisans de la Terreur.
Cette résistance lui vaut d'être arrêté le , et emprisonné à Lons-le-Saunier, puis à Besançon.
La chute de Robespierre, le , lui évite la guillotine et lui permet de recouvrer sa liberté, avant de se retirer dans son village natal.