De 1779 jusqu'à sa mort, il s'implique dans l'union de l'évêché de Wurtzbourg et de l'archidiocèse de Bamberg. Influencé par les Lumières, il favorise l'éducation du clergé. À Bamberg il construit le premier hôpital moderne et introduit une première sécurité sociale publique. L'université de Bamberg ouvre une chaire de vétérinaire. Politiquement, il est fidèle aux Habsbourg et à l'empereur Joseph II.
Il vient vivre à la Résidence de Würzburg mais ne mène pas la vie mondaine d'Adam Friedrich von Seinsheim, son prédécesseur. Il n'organise plus de chasses et de spectacles d'opéra, ni la loterie. Il ferme le théâtre et vend ses peintures et son mobilier au profit d'un orphelinat.