Anglo-catholiqueémigré après être devenu chapelain de Saint-Jean en France, il achète en 1815 au duc de Noailles le Grand Hôtel de Noailles, rue Saint-Honoré à Paris [2] et y habite jusqu'en sa mort en 1829. Lors de la vente de l'Hôtel par ses héritiers la Ville de Paris a déjà annoncé son intention de percer deux nouvelles voies à cet emplacement. Les acquéreurs vont rapidement démolir les bâtiments et lotir les jardins pour y implanter de nouveaux immeubles en particulier sur la nouvelle rue d'Alger[3]
↑Monin, Henri et Lazard, Lucien, Sommier des biens nationaux de la Ville de Paris, Paris, Léopold Cerf, 1920, t. 1, De la première à la quatrième municipalité, art. 168, p. 48 (Consulter sur Gallica).
↑Contrairement aux affirmations de plusieurs auteurs, l'hôtel de tourisme Saint-James et Albany dont l'entrée principale se trouve rue de Rivoli, n'est pas implanté sur le terrain de l'ancien Hôtel de Noailles, mais sur celui de l'ancien Hôtel de Boullongne (Alexandre Gady, Les Hôtels particuliers de Paris, du Moyen Âge à la Belle Époque, Éditions Parigramme, 2008 ; 2e éd. corrigée, 2011, p. 307)