Fiac est une commune située sur la rive droite de l'Agout dans le Tarn, jouxtant par l'est Lavaur et situé à 39 km à vol d'oiseau àl'est de Toulouse, 55 km au sud-est de Montauban, 21 km au sud de Gaillac, 9 km au sud-ouest de Graulhet et 30 km d'Albi et 29 km au nord-ouest de Castres.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Castrais, un territoire essentiellement agricole, entre la rive droite de l'Agout au sud et son affluent, le Dadou, au nord.
Elle est drainée par l'Agout, le ruisseau d'Assou, le ruisseau de Léou, le ruisseau de Brandes, le ruisseau d'en Gary, le ruisseau d'en Gèlis et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[4],[Carte 1].
L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[5]. L'Agout longe la commune sur 9 km et la limite avec Lavaur et Viterbe
Le ruisseau d'Assou, d'une longueur totale de 15,4 km, prend sa source dans la commune de Graulhet et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Lavaur, après avoir traversé 8 communes[6].
Le ruisseau de Léou, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Moulayrès et s'écoule vers l'ouest puis se réoriente au sud. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Damiatte, après avoir traversé 5 communes[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 800 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lavaur », sur la commune de Lavaur à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,8 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 42,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 3] est recensée sur la commune[18] :
les « rivières Agoût et Tarn de Burlats à Buzet-sur-Tarn » (1 364 ha), couvrant 24 communes du département[19].
Urbanisme
Typologie
Au , Fiac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,7 %).
La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,4 %), forêts (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,5 %), zones urbanisées (1,8 %)[20].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits, hameaux et écarts
Le hameau de Brazis, intégré à Fiac en 1824, est situé en bordure de l'Agout côté sud-est de la ville.
Habitat et logement
En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 471, alors qu'il était de 458 en 2016 et de 415 en 2011[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fiac en 2021 en comparaison avec celle du Tarn et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (5,8 %) par rapport au département (7,4 %) et à la France entière (9,7 %).
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Agout, le ruisseau de Léou et le ruisseau d'Assou. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1996, 1997, 1999, 2003, 2013 et 2020[24],[21].
Fiac est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 4],[25].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[26]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 467 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 421 sont en aléa moyen ou fort, soit 90 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].
La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31].
Toponymie
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Le territoire de Fiac a depuis toujours été colonisé par les animaux et par l'homme. Dans la grande et fertile plaine qui, du pied de la colline où s'assied le village, vient effleurer l'Agout, la charrue a mis au jour et en déterrera encore, des dizaines d'objets préhistoriques.
À partir de la Révolution française, la vie de la population de Fiac a été très liée au soubresaut de l'histoire nationale. C'était une population essentiellement agricole et artisanale qui vivait beaucoup en autarcie grâce à la qualité agronomique des terres qui leur permettait de couvrir tous leurs besoins. Les deux guerres mondiales ont ponctionné un pourcentage important de la population masculine.
Fiac au tout début du XXe siècle
Le château de Fiac.
Le château Sainte-Anne.
La commune, instituée par la Révolution française, absorbe dès 1824 celle de Brasis, qui, en 1821, comptait 223 habitants recensés[2].
Les grandes familles de propriétaires terriens ont marqué la vie de la commune, soit parce qu'elles étaient appelées à exercer des responsabilités de gestion de la commune, soit par le poids économique que représentaient leurs propriétés. Elles résidaient dans des grandes maisons de maître ou des châteaux qui sont encore actuellement entre les mains de leurs descendants. Ces grandes bâtisses composent actuellement le patrimoine architectural de la commune.
Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné avec la communauté de communes du Lautrecois pour former, le , la communauté de communes du Lautrecois-Pays d'Agout, dont est désormais membre la commune[I 1].
Compte-tenu du nombre d'habitants de la commune, compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal est de quinze[32], y compris le maire et ses adjoints.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[47].
En 2022, la commune comptait 927 habitants[Note 6], en évolution de −0,22 % par rapport à 2016 (Tarn : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 589 personnes, parmi lesquelles on compte 76,1 % d'actifs (68,6 % ayant un emploi et 7,5 % de chômeurs) et 23,9 % d'inactifs[Note 8],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 14]. Elle compte 151 emplois en 2018, contre 174 en 2013 et 192 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 407, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59 %[I 15].
Sur ces 407 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 67 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 89,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 1,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
85 établissements[Note 9] sont implantés à Fiac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 18].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
85
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
13
15,3 %
(13 %)
Construction
11
12,9 %
(12,5 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
21
24,7 %
(26,7 %)
Information et communication
3
3,5 %
(2,1 %)
Activités financières et d'assurance
1
1,2 %
(3,3 %)
Activités immobilières
7
8,2 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
16
18,8 %
(13,8 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
6
7,1 %
(15,5 %)
Autres activités de services
7
8,2 %
(9 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,7 % du nombre total d'établissements de la commune (21 sur les 85 entreprises implantées à Fiac), contre 26,7 % au niveau départemental[I 19].
Entreprises et commerces
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[54] :
Fabulous World, autre imprimerie (labeur) (296 k€)
Bru Patrice Photovoltaique, production d'électricité (16 k€)
Bruno Degoy, autres activités de soutien aux entreprises n.c.a. (6 k€)
De nos jours, la commune connaît un certain dynamisme dû à la proximité de l'agglomération toulousaine. Le nombre d'agriculteurs a fortement diminué du fait de l'agrandissement des exploitations, mais l'agriculture est toujours un secteur dynamique de l'économie locale. Une nouvelle population s'installe sur le territoire, composée de familles anglaises à la recherche du soleil et de la proximité du golf ainsi que les jeunes couples attirés par le cadre agréable et le caractère rural de la commune.
Agriculture
La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[55]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 61 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 34 en 2000 puis à 33 en 2010[57] et enfin à 29 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[58],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2211 ha en 1988 à 1746 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à 60 ha[57].
Souterrain de Rivals Mazères. À proximité de la motte, à l'origine du village castral de Fiac, s'ouvre un souterrain, dont les voûtes sont en plein cintre, caractéristique des souterrains aménagés médiévaux tarnais. Il comprend une galerie d'entrée rectiligne longue de 7 m, dotée de marches, niches et d'un système de fermeture, qui tourne par deux fois à angle droit d'abord à droite, puis à gauche, et débouche dans une grande salle de 5 × 2 m qui elle-même dessert deux autres salles plus petites (une de chaque côté), dont l'une contrôle par un trou de visée la galerie d'accès. Les trois salles sont dotées d'un conduit d'aération taillé dans la voûte (deux pour la grande salle)[59].
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[30].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑J.-C. Clerc, « Fiac. Le maire préfère démissionner », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le )« j'ai proposé un vote de confiance à bulletins secrets », explique Louis Bouchet, ancien maire de la commune qui a obtenu 4 voix pour et 9 contre ».
↑« Fiac. « Jusqu'au bout, je me suis demandé si j'allais y aller » », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le )« Jérôme Sarran est le nouveau maire de la commune. Il succède à Louis Bouchet dont il était le premier adjoint. Venu du Gers il y a onze ans il s'agit du troisième mandat de l'agriculteur au sein du conseil municipal ».
↑« Modifications du conseil municipal le 22 mai 2019 », Feuilles du Fiacois, no 11, (lire en ligne [PDF], consulté le )« Par courrier en date du 27 avril 2019, Madame Sophie GILBERT a fait part de sa volonté de démissionner de
sa fonction de Maire et cette démission a été acceptée par le Préfet du Tarn, Monsieur Jean-Michel MOUGARD
par courrier en date du 21 mai 2019, reçu en mairie le 21 mai 2019 ».
↑Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN978-2-343-07867-0, lire en ligne), p. 367-368.