Ses chroniques artistiques dans La Nation Belge le suivent lorsqu'il travaille pour la « bonne vieille L'Indépendance belge », « reprise et rajeunie » par son neveu René Hislaire, qui avait après lui dirigé La Nation belge raconte Fernand Demany, dans La Chasse aux canards : souvenirs de journalismes[1].
En 1934, son décès lors d'un voyage en Grèce est suivi de funérailles quasi nationales.
Une rue de la commune d'Ixelles porte son nom, et la façade Sud du CPAS d'Étalle, son village natal, porte un médaillon de bronze à son effigie.
↑La Chasse aux canards : souvenirs de journalismes , par Fernand Demany, page 122.
Bibliographie
Quinze Jours en Égypte (Fernand Neuray, 1908) ;
La Belgique Nouvelle - À Travers Quatre Ans De Guerre (1914-1918). (Fernand Neuray, Bruxelles et Paris, G.Van Oest & Cie, in-12. 1918) ;
Le Mirage Russe (paris, « La Revue Universelle » tome XVIII, no 10, ) ;
Deveze, Albert - Neuray, Fernand - Renkin, Jules - Vandervelde, Emile, Pour l'examen de maturité. (« Le Flambeau » VII, 7 (1924), 257-260) ;
Entretiens avec Clemenceau (Fernand Neuray, éditions Prométhée, Paris, (c) 1930, 98 pages, format 12 × 17 cm. Collection « figures et questions du jour » ; préface de Léon Daudet) ;
Godefroid Kurth, Un demi-siècle de vie Belge. Fernand Neuray. (Librairie Nationale d'Art et d'Histoire, 242 pages in-8. 1931) ;
Regards sur l'Europe (Fernand Neuray, Bruxelles, NSE, Essais et mémoires, 1934. In-12, 270 p., broché) ;
Fernand Neuray, le plus grand journaliste belge de son temps (1874-1934), par Jean-Claude Delhez (Annales de l’Institut Archéologique belge du Luxembourg, CXVIII-CXIX, chez l’auteur, 1987-1988);
L'Action Française dans le nationalisme belge 1914-1918 par Dr. E. Defoort, bibliothécaire à la K.U.L. Section Courtrai (p. 113-152).
Liens externes
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