L'article femmes de la maison de Savoie présente, par ordre chronologique de naissance, les principales personnalités féminines ayant appartenu à la maison de Savoie, par naissance ou par mariage.
Famille de Solignac, originaire du Velay, dont le prénom est caractéristique. Cette hypothèse est avancée par le chanoine et médiéviste Maurice Chaume (1888-1946)[10],[11].
↑Emmanuel Davin, « Béatrice de Savoie, Comtesse de Provence, mère de quatre reines (1198-1267) », Bulletin de l'Association Guillaume Budé, vol. 1, no 2, , p. 176-189 (lire en ligne).
↑François Demotz, La Bourgogne, dernier des royaumes carolingiens (855-1056). Roi, pouvoirs et élites autour du Léman, Lausanne, Société d’histoire de la Suisse romande, , 764 p. (ISBN978-2-940066-06-3), p. 308.
↑Georges de Manteyer, « Les origines de la maison de Savoie en Bourgogne (910-1060) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 19, no 1, , p. 363-540 (lire en ligne), p. 484, 501, 518 et 536.
↑Maurice Chaume, Recherches d'histoire chrétienne et médiévale : Mélanges publiés à la mémoire de l'historien avec une biographie par Charles Oursel, Académie des sciences, arts et belles-lettres, impr. de Bernigaud et Privat, 1947, 350 pages.
↑Christian Settipani, La Noblesse du Midi Carolingien. Études sur quelques grandes familles d'Aquitaine et du Languedoc, du IXe au XIe siècle, p. 337.
↑Marie-José de Belgique (préf. Benedetto Croce), La maison de Savoie : La maison de Savoie : Les origines. Le Comte Vert. Le Comte Rouge, vol. 1, Paris, A. Michel, (réimpr. 1989, Milan, pour le compte de la Fondazione Umberto II & Maria-Josè di Savoia), 425 p., p. 37.
↑(pt) Maria Alegria Fernandes Marques, « Mafalda de Mouriana e Sabóia (1130/1133 – 1158), primeira rainha de Portugal », dans Maria Antonia Lopes, Blythe Alice Raviola (coord.), Portugal e o Piemonte: a casa real portuguesa e os sabóias: nove séculos de relações dinásticas e destinos políticos (XII-XX), Coimbra, Imprensa da Universidade de Coimbra, , 363 p. (lire en ligne [PDF]), pp. 15-50.
↑Pierre Duparc, Le comté de Genève, (IXe – XVe siècles), t. XXXIX, Genève, Société d’histoire et d’archéologie de Genève, coll. « Mémoires et documents » (réimpr. 1978) (1re éd. 1955), 621 p. (lire en ligne), p. 143-145
↑ a et bErnest Cornaz, Le mariage Palatin de Marguerite de Savoie : 1445 - 1449, Lausanne, Payot & Cie, coll. « Mémoires et documents publiés par la Société d'histoire de la Suisse romande », , 336 p., p. 21.
↑ abc et dHenri de Panisse-Passis, Les comtes de Tende de la maison de Savoie, Librairie Firmin-Didot et Cie, , 386 p. (lire en ligne), p. 149 et suivantes.
Annexes
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Bibliographie
Samuel Guichenon, Histoire généalogique de la royale maison de Savoie, justifiée par titres, fondations de monastères, manuscrits, anciens monuments, histoires et autres preuves authentiques. Livres 1-2 : ; enrichie de plusieurs portraits, sceaux, monnaies, sculptures et armoiries, Lyon, G. Barbier, , 1073 p. (lire en ligne), p. 532-533.
« De la Souveraineté. Les onze princesses de France qui ont été mariées en Savoie sont » (p. 86-88, lire en ligne)
Andrea Merlotti, « Politique dynastique et alliances matrimoniales de la Maison de Savoie au XVIIe siècle », Dix-septième siècle, vol. 2, no 243, , p. 239 - 255 (lire en ligne)
(en) Charles William Previté-Orton, The Early History of the House of Savoy : 1000-1233, Cambridge, Cambridge University Press (réimpr. 2013) (1re éd. 1912), 512 p. (lire en ligne).
Laurent Ripart, « Non est consuetum in comitatu Sabaudie quod filia succedit patri in comitatu et possessione comitatus Genèse de la coutume savoyarde de l’exclusion des filles », Cahiers lausannois d'histoire médiévale, , p. 295-331 (lire en ligne, consulté le ).