Au cours de la guerre civile libanaise de 1975, il s'est rendu à Paris pour étudier la médecine, avant de revenir en 1989 au Liban pour suivre le chemin politique de sa famille, lorsqu'il se déplace entre plusieurs partis[4].
Après le retour du président Michel Aoun de son exil en France en 2005, phénomène politique connu comme le « tsunami », Souaid échoue à l'élection présidentielle de 2005[7].
Il a assumé la tâche de coordonnateur du secrétariat général de la coalition de l'anti-occupation syrienne au Liban, le mouvement 14 mars 2005, qui s'est désintégré quelques années plus tard[6],[8],[4],[3].
En 2020, il s'oppose à l'influence de l'Iran et du Hezbollah au Liban[1].