Fantasia chez les ploucs (roman)

The Diamond Bikini

Fantasia chez les ploucs
Le Bikini de diamants
Auteur Charles Williams
Pays États-Unis
Genre Roman policier
Version originale
Langue Anglais américain
Titre The Diamond Bikini
Date de parution 1956
Version française
Traducteur Marcel Duhamel
Éditeur Gallimard
Collection Série noire no 400
Date de parution 1957
Nombre de pages 247
Chronologie
Série Sagamore Noonan

Fantasia chez les ploucs (The Diamond Bikini ) est un roman noir de Charles Williams, paru pour la première fois en 1956 sous le titre original anglais de The Diamond Bikini. Marcel Duhamel a traduit le roman en français dans la Série noire en 1957.

En 2017, une nouvelle traduction française de Laura Derajinski[1] est publiée aux éditions Gallmeister, sous le titre, fidèle à l'original[1] : Le Bikini de diamants.

Toute l'histoire est racontée par Billy, un petit garçon âgé de sept ans dont l'éducation a été faite sur les champs de courses.

Résumé

Billy a bien de la chance : cette année, il va en vacances avec son père chez son oncle Sagamore Noonan. En pleine prohibition, les temps ne sont pas faciles et Sagamore se sent persécuté par le shérif local. Celui-ci, qui persiste à croire que Sagamore fabrique de l'alcool de contrebande, rêve de le prendre en flagrant délit.

Là-dessus arrivent le docteur Severance et sa nièce, Miss Harrington, « convalescente » qui ne doit voir personne et passe son temps vêtue d'un maillot de bain minuscule qui va déclencher la ruée de tous les hommes du comté lorsque l'on apprendra sa disparition dans les marais. Pour couronner le tout, c'est l'ouverture de la chasse au lapin. Et cette année, les chasseurs en costume-croisé et mitraillettes sont particulièrement nombreux.

Éditions françaises

Fantasia chez les ploucs

Traduction française de Marcel Duhamel

Le Bikini de diamants

Traduction française de Laura Derajinski[1]

Adaptation au cinéma

Notes et références

  1. a b et c « Le roman Fantasia chez les ploucs remet son Bikini de diamants », article du site lefigaro.fr, du 8 septembre 2017.

Articles connexes

Liens externes