Famille de Larminat

Famille de Larminat
Image illustrative de l’article Famille de Larminat
Armes

Blasonnement D'hermines plain.
Période XVIIIe – XXIe siècle
Pays ou province d’origine Lorraine
Charges Conseiller régional
Maire
Fonctions militaires Général d'armée
Contre-amiral
Récompenses militaires Ordre royal et militaire de Saint-Louis, ordre national de la Légion d'honneur, ordre de la Libération,...

La famille de Larminat, est une famille française originaire de Lorraine.

Elle a été titrée au XIXe siècle.

Elle compte parmi ses membres un maire de Fontainebleau et des officiers dont des généraux.

Histoire

Sous l'Ancien Régime, la famille Larminat est établie à Thionville en Lorraine[réf. nécessaire].

Sous le Second Empire, elle obtient un titre de baron en 1860 par confirmation d'un titre de 1828[1].

Cette famille a été admise le 19 décembre 1964 à l'Association d'entraide de la noblesse française[2].

Personnalités

Alliances

Les principales alliances de la famille de Larminat sont : Marrier de Boisd’hyver (1807), de Lévézou de Vezins, de Lesquen du Plessis Casso.

Armes

Antoine Larminat s'approprie un blason « D'hermines plein » évoquant son nom. Il s'agit donc d'armes parlantes.

Pourtant, la branche aînée, en la personne de son oncle Jean-François de Larminat, avocat au parlement et échevin de Thionville, avait fait sa déclaration en 1697 décrivant ses armoiries : « D’azur au pal d’argent, chargé d’un tourteau d’azur ».

Un édit royal de 1696 avait prescrit un collationnement général des titres de noblesse et des armoiries dans tout le royaume, sous la direction de Charles d’Hozier. Cette déclaration était inscrite au cœur d’une liste se terminant par le commentaire suivant : « Il n’a été fourni par les dénommés ci-dessus, aucune figure ni explication d’armoiries », mais il était précisé qu’ils avaient « néanmoins payé les droits d’enregistrement ».

Même s’il est probable que les Larminat avaient porté les armes « Tout d’hermines », on s’étonne que l’oncle ne les ait pas déclarées, quitte à les modifier s’il l’avait souhaité. Toujours est-il qu’Antoine prend « D’hermines plein » comme armes parlantes, commettant ainsi une erreur puisque les armes de Bretagne étaient les mêmes.

Notes et références

  1. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, 2002, page 115.
  2. Page « La table des familles » (lire en ligne).

Voir aussi

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Bibliographie

  • Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, éditions Robert Laffont, 2002, page 115

Fonds d'archives

Articles connexes

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