Bernard I Calmont-Plancatge (teste en 1230), fils de Hugues Ier de Rodez et d'Ermengarde de Creissels, cité dans le cartulaire de l'abbaye de Bonnecombe rédigé en 1200. ∞ Rique de Cabrières, fille d'Umbert de Cabrières, dont 3 enfants : Bernard II, Bérenger et Ermengarde.
Béranger I d'Arpajon, présent aux États généraux convoqués à Paris en 1317.
Louis VI d'Arpajon : Écartelé, au premier et au quatrième d'azur aux trois fleurs de lys d'or et à la bordure du même, au deuxième et au troisième de gueules à la harpe d'or[7]
Famille d’Arpajon 1522
Louis d’Arpajon, duc d'Arpajon (duché-pairie érigé en 1650) : Écartelé au 1 de Toulouse; au 2 de Sévérac (d'argent à quatre pals de gueules); au 3 d'Arpajon; au 4 d'azur à 3 fleurs de lis d'Or posées 2 et 1, au bâton de gueules, l'écu brisé d'une barre de gueules brochant sur le tout qui est de Bourbon-Roussillon. Brochant sur le tout les armes de la religion qui sont de gueules à la croix d'argent. Couronne de duc et pair[8]. Écartelé: au 1, de gueules, à la croix de croix de Toulouse, vidée, cléchée et pommetée d'or (Toulouse, comtes de Lautrec) ; au 2, d'argent, à quatre pals de gueules, (Séverac) ; au 3, de gueules, à la harpe d'or (Arpajon); au 4, d'azur, à trois fleurs-de-lis d'or, au bâton noueux de gueules péri en barre (Bourbon-Roussillon). Sur le tout de gueules, à la croix d'argent de l'Ordre de Malte. La croix de Malte après 1645[7].
Notes et références
↑Hippolyte de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes, tome 1er, pages 361 à 421, Rodez, 1853-1860 (lire en ligne).
↑ a et bAbbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome I (2o partie) », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVII, , p. 376, lire en ligne sur Gallica
Bertrandon apparaît généralement dans les archives du prieuré de Saint-Gilles avec le prénom Tandon (syncope linguistique). Dans certains ouvrages plus récents on l'appelle Bertrand, ce qui entraine une confusion et un amalgame avec son frère.
↑Guillaume de La Croix, Histoire des évêques de Cahors, traduction du latin de Louis Ayma, J.-G. Plantade, Cahors, 1879, tome 2, pp. 241-274 (lire en ligne).
↑Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome II », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVIII, , p. 226-232, lire en ligne sur Gallica
Hippolyte de Barrau, Documens historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue (vol.1), Rodez, (lire en ligne), p. 361 à 421.