Pendant plusieurs années, elle est avocate pour la Fondation européenne pour les droits humains(en)[3]. Elle coopère avec des organisations non gouvernementales sur les droits des minorités nationales notamment les crimes haineux et la discrimination[4].
En , elle entre au Conseil municipal de Vilnius après la démission de Renaldas Vaisbrodas[3]. Le , elle entre au Seimas pour le Parti de la liberté et intègre le Comité des audits et la Commission des pétitions[5].
Considérée comme une candidate potentielle pour le poste de ministre de la Justice dans le Gouvernement Šimonytė malgré son manque d'expérience[6], elle est finalement nommée à ce poste le [7].