Pendant la guerre d'Espagne, il s'engage avec les troupes républicaines et sert au sein du régiment de Valentín González, dit « El Campesino ». Il doit fuir devant l'avancée des nationalistes, qui gagnent la guerre en 1939, et s'exile en France.
En 1945, à Toulouse, il est l'un des invités à la cérémonie d'hommage aux résistants des maquis. Dolores Ibárruri, la « Pasionaria », le présente à Pablo Picasso[2].
Eugenio Arias ouvre ensuite un salon de coiffure à Vallauris. Il retrouve Pablo Picasso, qui emménage avec Françoise Gilot dans cette ville, en 1948. L'artiste devient l'un de ses clients et un ami proche[3] à qui il lègue des œuvres[4].