Il quitte le groupe Cobra tout de suite après l'exposition pour se consacrer à son art personnel. il a créé aussi des assemblages. Toutefois, le style Cobra réapparaît dans sa peinture à partir des années 1960 et évolue vers l'abstraction lyrique dans les années 1980.
Quelques œuvres
La plupart de ses œuvres sont exposées au Stedelijk Museum Amsterdam, musée Cobra. Celles répertoriées par Willemijn Stokvis sont souvent issues de collections privées.
1948 : Rode Vorm met tanden (« Forme rouge avec dents »)[3]
1949 : Deux formes, huile sur toile, 69 × 109,5[4]
1949 : Petite Lune noire, objet de rebut sur bois, 43 × 51[5]
1950 : Sans titre, assemblage 60 × 45 15 cm Stedelijk Museum Amsterdam
1951 : Le Tour noire ou Activité magique, huile sur toile 160 × 103 coll. privée, Hollande[6]
1952 : De vrouw van de horlogemaker (« L'Épouse de l'horloger »), huile sur toile, Dunité |100,5|95,5[pas clair] coll. particulière, Nebraska[7]
1952 : Droomwereld van het kind III, technique mixte, 76,5 × 76,5[5]
1964 : Een Somerdag (« Un Jour d'été »), stedelisjk[pas clair][8]
1976 : Paysage dynamique, huile sur toile, 200 × 235, galerie Mia Joosten, Amsterdam
Willemijn Leonore Stokvis, Cobra : mouvement artistique international de la seconde après-guerre mondiale, Paris, Éditions Albin Michel, coll. « Les grands maîtres de l'art contemporain », , 128 p. (ISBN978-2-221-05412-3).
Collectif Jean-Michel Place, Cobra 1948-1951, Paris, Jean-Michel Place, coll. « réimpressions des revues d'avant-garde », , 335 p. (ISBN978-2-85893-043-2).
Collectif Cobra : singulier pluriel, Cobra : singulier pluriel, les œuvres collectives 1948 - 1995, Paris, La Renaissance du Livre, coll. « References », , 83 p. (ISBN978-2-8046-0255-0, lire en ligne)introduction de Pierre Descargues.