Eugène-Barthélemy Verboeckhoven, né à Gand le , est le fils aîné du peintre animalier Eugène Verboeckhoven (1798-1881) et de Pauline Hebbelinck (1798-1882), mariés à Gand le [1].
Eugène-Verboeckhoven épouse à Bruxelles le Pauline Verbist (1831-1895). Le couple a deux fils : Eugène (1851-1876), célibataire et Albert (1853-1905), comptable, puis industriel.
Homme politique, il se consacre à son mandat échevinal à Schaerbeek de 1861 à 1867, à l'époque où le parti libéral dirige la commune en pleine expansion. Il exerce également, en 1875, les fonctions de juge au tribunal de commerce de Bruxelles[5].
Eugène-Barthélemy Verboeckhoven, meurt, à l'âge de 82 ans, rue des deux églises, no 5 à Bruxelles, le . Ses funérailles ont lieu deux jours plus tard[6],[7].
↑(en) Rédaction, « Ghent », The Art journal, no 10, , p. 262 (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bLucien Hochsteyn, L'ordre de Léopold : Liste de tous les dignitaires depuis la fondation de l'ordre jusqu'au 31 décembre 1886, Bruxelles, Lucien Hochsteyn, , 221 p. (lire en ligne), p. 89.
Patrick Berko et Viviane Berko, Dictionnaire des peintres d'animaux belges et hollandais nés entre 1750 & 1880, Knokke, Berko, coll. « Fine Arts », , 545 p. (ISBN978-9027452405).
Jean-Marie Duvosquel, « La demeure familiale et les ateliers du peintre Eugène Verboeckhoven », Cahiers bruxellois, vol. XLIX, no 1, , p. 157-202 (lire en ligne, consulté le ).