Bien que sans doute fréquenté depuis longtemps, le lieu est mentionné pour la première fois au XVe siècle[4], alors que des moines Franciscains aménagent la grotte en chapelle et construisent un ermitage à proximité[5].
Déserté après la Révolution, l'ermitage est réhabilité à partir de 1843 par le prêtre et moine franciscain Marie-Joseph Chiron (1797-1852), (créateur du calvaire du Montoulon à Privas) surnommé le Père Marie, qui y vécut quelques années[4]. Joseph Antoine Cervini et Antoine Ignace Melling visitent le lieu, alors désert, en 1821 et le décrivent comme « la plus belle merveille du Roussillon »[6].
L'ermitage conservait jadis des reliques de la Sainte-Croix, de sainte Victoire et plus tard du père Francisco Palau y Quer, mort en 1872 et béatifié en 1988[5].
L'ermitage Saint-Antoine de Galamus vers 1821 vu par Melling.