Il s'installe à Paris dans un atelier de Montmartre au 31, rue Gabrielle, qu'il partage en 1873 avec le peintre toulousain Benjamin-Constant (1845-1902). Au Salon de 1875, il expose Légumes et La Rue du Mont-Cenis, à Montmartre[1]. Au Salon de 1920, il envoie Paysage du Béarn et Après-midi d'été[2]. Au Salon de 1910, il présente ses deux pastels Les Gerbes et Chaumière au printemps (Hautes-Pyrénées), que Guillaume Apollinaire qualifie d'« impressionnisme en trompe-l'œil »[3].
Il a peint deux toiles représentant Toulouse vue du Bazacle encadrant la porte de la salle du conseil municipal du Capitole de Toulouse[4].
↑Explication des ouvrages de peinture et dessins, sculpture, architecture et gravure des artistes vivants, Paris, Imprimerie nationale, 1875, p. 292 (lire en ligne).
↑Explication des ouvrages de peinture et dessins, sculpture, architecture, gravure & lithographie des artistes vivants, Paris, Lapina, 1920 (lire en ligne).
↑Gérard Schurr, Pierre Cabanne, « Yarz, Edmond », in Les Petits Maîtres de la peinture. 1820-1920, Paris, Les Éditions de l'Amateur, 2014, p. 1066.
↑« Visites et promenades », L'Auta : que bufo un cop cado més, n° 347, avril 1967, p. 61 (lire en ligne).
Émile Bellier de La Chavignerie, Louis Auvray, « Edmond Yarz », in Dictionnaire général des artistes de l'École française depuis l'origine des arts du dessin jusqu'à nos jours : architectes, peintres, sculpteurs, graveurs et lithographes, tome 2, Paris, Librairie Renouard, 1885, p. 727 (lire en ligne).
Gérard Schurr, Pierre Cabanne, « Yarz, Edmond », in Les Petits Maîtres de la peinture. 1820-1920, Paris, Les Éditions de l'Amateur, 2014, p. 1066 (ISBN978-2-85917-541-2).