Après avoir franchi avec difficultés le fleuve Tacazzé dans le haut Atbara, ils passent à Douarik puis arrivent à Debre Tabor où le ras Ali les reçoit et tente de les retenir.
Ils explorent ensuite la côte Sud du lac Tana[1] et visitent le royaume de Gouël. Ils pénètrent ensuite dans l'Amhara et sont accueillis de manières cordiales à Angolada par Sahle Selassié.
Ils contournent au retour le lac Tana par l'Ouest, franchissent le Nil Bleu et demeurent quelque temps à Gondar. Après Adoua et Massaouah, ils atteignent Djeddah et de là embarquent pour Marseille où ils rentrent en .
Voyage en Abyssinie, dans le pays des Gallas, de Choa et d'Ifat, précédé d'une excursion dans l'Arabie heureuse (1835-1837), avec Tamisier, 1838
Voyage en Égypte, en Nubie, dans les déserts de Beyonda, des Bicharys et sur les côtes de la mer Rouge en 1833-1835, 1846
Bibliographie
Georges Malécot, Les voyageurs français... et l'Abyssinie, 1971, p. 10-13 et p. 33-41
Numa Broc, Dictionnaire des Explorateurs français du XIXe siècle, T.1, Afrique, CTHS, 1988, p. 87-88
Paul Tirand, Edmond Combes, l'Abyssinien (1812-1848), Pais, L'Harmattan, 2010.
Notes et références
↑Jules Rouch, Epoque contemporaine, tome IV de Histoire Universelle des Explorations publiée sous la direction de L.-H. Parias, Paris, Nouvelle Librairie de France, 1957, p. 171