En 1935, il parraine un projet de loi pour accorder le droit de vote aux femmes dans la province de Québec malgré l'opposition de son chef, Louis-Alexandre Taschereau. La proposition est battue. Le projet de loi est à nouveau présenté par Frederick Arthur Monk en 1936. Désormais ministre du Travail, Rochette vote contre cette proposition afin d'être solidaire de son chef. Il appuie la proposition en 1940 lorsqu'elle est présentée par son chef Adélard Godbout[2].
↑Alexandre Dumas, « Le droit de vote des femmes à l’Assemblée législative du Québec (1922-1940) », Bulletin d'histoire politique, vol. 24, no 3, , p. 137-157 (ISSN1201-0421 et 1929-7653, DOI10.7202/1036737ar, lire en ligne, consulté le )