Il est mis à la retraite le et est versé dans le corps des « L-Offiziere », puis à partir de 1937, dans le corps de « E-Offiziere ». Il est à nouveau mobilisé le et nommé général de brigade (generalmajor) le .
Le , il reçoit le commandement de la 708e division d’infanterie. Celle-ci basée à Bordeaux fait partie de la 1re Armée et est chargée de la protection du Mur de l’Atlantique.
Le 13 août 1944, l’état-major de la 1re armée est appelé du golfe de Gascogne vers le nord pour assumer la direction du front qui s’étend entre la Seine et la Loire dans la région d’Orléans. La 708e Division d’infanterie passe alors sous un autre commandement.
La division effectuant sa retraite, le général quitte Bordeaux le 13 août 1944.
Le 18 août, il est momentanément nommé commandant de la place de Montargis. À l’arrivée des troupes américaines au matin du 23 août, il décroche vers l’est à bord d'une Mercedes. Après voir traversé Vauchassis, un barrage contraint le véhicule à prendre la direction de Bouilly. À la sortie, une herse crève les pneus et la voiture s’immobilise sur le bas-côté. Les quatre occupants s’enfuient à travers champs vers la forêt proche. Il est finalement capturé le 24 août 1944 ainsi que 2 de ses camarades, Hauptmann Wilhelm Schöps et Oberleutnant Arthur Jordan, par le détachement FFI du colonel "Montcalm" (Émile Alagiraude)[1]". Ils sont exécutés le au château de Crogny. Cette exécution survient en représailles au massacre de Buchères perpétré par la 51e brigade de Panzergrenadiers SS[2]. Le lieu exact de leur sépulture est inconnu mais est situé dans le parc du château de Crogny.