Toute la population était imposée sauf ceux qui partaient se battre. Ceux qui restaient en Europe et qui ne payaient pas l'impôt étaient punis de l'excommunication. Le clergé racheta sa part en versant 5 000 marcs d'argent.
La dîme saladine est établie par le concile de Paris de [3]. Sa levée est arrêtée dès 1189[3].
Notes et références
↑Entrée « dîme saladine », sur Dictionnaires de français (en ligne), Larousse [consulté le 17 août 2016].
↑Cécile Morrisson, Les Croisades, PUF, 1969, nouvelle édition : 2006, p. 80
↑ a et bPaul Gagnol, « Les décimes et les dons gratuits », Revue d'histoire de l'Église de France, vol. 2, no 10, , p. 465-481 (DOI10.3406/rhef.1911.1987, lire en ligne [fac-similé]).