Dorothée-Sophie interdit au clergé de refuser l'absolution à une personne qui a fait un véritable contrit et la confession. Toutefois, si le même paroissien a répété le péché, ils devaient faire face à des châtiments plus sévères et, enfin, un renvoi devant le consistoire. Elle proscrit que ces paroissiens ne soient pas en mesure de servir de parrains et marraines, ni être enterré selon la tradition ou dans un sol sacré. Ces décisions ont suivi la précédente pratique Catholique. Elle a également pris des mesures pour empêcher le secret des fiancailles, en déclarant que tout engagement doit être vu par trois hommes et annoncé publiquement[1].
Références
↑(en) Susan C. Karant-Nunn, The reformation of ritual : an interpretation of early modern Germany, London/New York, Routledge, , 282 p. (ISBN0-415-11337-7, lire en ligne)