Activités professionnelles et engagements politiques
En 1975-1976, il est formateur à la Direction départementale du travail (DDT)[3] puis, en 1978, il devient rédacteur dans un hebdomadaire de Reims, Marne Actualtés[1], avant de travailler, en 1981-1982, en tant qu'attaché au cabinet du maire, sur les questions de formation et d’insertion professionnelle de cette ville[1],[2].
En 1983, il s'installe en région parisienne, à Champigny-sur-Marne, pour devenir cadre commercial dans le tourisme social. Il s’implique dans la vie locale dès son arrivée : il est adjoint au maire chargé de l’enseignement de 1989 à 1995.
Devenu l’un des responsables campinois du Parti communiste, il s’occupe particulièrement des cités Blanches et du Bois l’Abbé. Puis il est élu à la direction du Parti communiste du Val-de-Marne.
À partir de 2001, il poursuit son mandat local comme conseiller municipal. En 2002, il est élu premier adjoint au maire, chargé de la culture, de la communication, des initiatives publiques, de la vie associative et de la démocratie participative.
Mandatures
Le 27 novembre 2004, il est élu maire de Champigny-sur-Marne[4],[5], à la suite de la démission de Jean-Louis Bargero[6], maire depuis 30 ans. Il est réélu dès le premier tour en mars 2008, puis au second tour en 2014.
Président du Syndicat intercommunal funéraire de la région parisienne (SIFUREP) depuis 2008, il ne souhaite plus cumuler cette fonction avec celle de l'ANECR et démissionne en juillet 2011 et est remplacé par une autre élue communiste, Carinne Juste, maire de Villetaneuse . Il demeure vice-président du SIFUREP[8].
Malade, il annonce sa démission de son mandat de maire de Champigny-sur-Marne en mars 2018[9].
Décès
Il meurt le 5 avril 2018[10], à l'âge de 63 ans, des suites d'une longue maladie[11].
↑ a et bGrégory Marin, Pierre Duquesne, Aurélien Soucheyre, « Le maire de Champigny-sur-Marne, Dominique Adenot, est décédé », l'Humanité, (lire en ligne, consulté le ).
↑Laure Parny et Marion Kremp, « Dominique Adenot, le maire PCF de Champigny, annonce sa démission : Alors qu’il s’était mis en retrait depuis un an, la dégradation de son état de santé le contraint à passer la main. Un conseil municipal extraordinaire sera convoqué le 7 avril », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).