Les autorités françaises l'envoient travailler à l'usine d’aviation Dewoitine de Toulouse, puis l'internent de nouveau au camp du Champ de Mars à Perpignan, puis au Barcarès.
Il rejoint ensuite la région parisienne. Il entre dans la résistance française et fait partie d’un groupe des FTP-MOI[2].
Il mène avec son groupe plusieurs actions à Bordeaux et à Paris. Le 26 juillet 1942, lui et ses camarades blessent grièvement un officier allemand nazi, avenue Secrétan[3].
Il est arrêté le 9 octobre par deux inspecteurs de la BS2 sur la place du Danube, dans le 19e arrondissement. Ils l'emmènent au poste de police de la place Armand-Carrel. En chemin, il se rebelle et s’enfuit par la rue Manin, en direction de la rue de Crimée. Les policiers tirent et le touchent quatre fois[4].