Le dolmen tient son nom du rocher percé (Roquo-Traoucado en occitan) situé en contrebas. Il n'en demeure que les orthostates latéraux enserrés dans le tumulus. Germain Sicard mentionne y avoir recueilli quelques dents humaines[1].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Germain Sicard, « Essai sur les Monuments mégalithiques du département de l'Aude », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 26, no 9, , p. 454 (lire en ligne)