Elle travaille d'abord pour les Hôpitaux universitaires de Genève, puis se spécialise en oncologie et rejoint la clinique privée des Grangettes, où elle met sur pied le Centre du sein[6], dont elle est la directrice administrative[5]. Elle est promue par la suite au comité de direction, où elle chapeaute notamment les projets immobiliers et le marketing[6].
Elle est mariée à un spécialiste de l'audit informatique bancaire, rencontré lors d'un camp de Caritas en 2005[4], et mère de deux enfants[5].
Elle siège au Grand Conseil du canton de Genève comme députée suppléante à partir du , puis comme députée titulaire à partir du [9] à la suite de la démission de Geneviève Arnold[10]. Elle est réélue le (en dernière position des candidats de sa liste)[11].
Elle est candidate au Conseil national en octobre 2019[2],[4]. L'année suivante, elle est élue en juillet par acclamation (seule candidate) à la présidence de la section cantonale de son parti, où elle succède à Vincent Maitre[7].
Plus jeune candidate à l'élection au Conseil d'État en 2023[14], elle se place en neuvième position au premier tour, devant son colistier du Centre (le PDC genevois change de nom en [15]) Xavier Magnin[16]. Seule candidate du Centre au second tour et figurant sur une liste commune de l'ensemble de la droite, elle est élue en cinquième position le 30 avril 2023[17]. Elle se voit confier le département de l'économie et de l'emploi[18].
En mars 2024, la nomination de son père à un poste élevé suscite des critiques, même si elle n'en est pas directement à l'origine[19].
↑ abc et dSami Zaïbi, « Élections genevoises : Delphine Bachmann, la fonceuse qui fait feu de tout bois », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )