David Tomas, né en 1950 à Montréal, est professeur à l'École des arts visuels et médiatiques de l'Université du Québec à Montréal[1]. Son travail explore les cultures et les systèmes d'imagerie. Tomas a écrit des articles sur l'anthropologie et la sémiotique du processus photographique et sur les pratiques artistiques actuelles. En 2001-2002, il a reçu la bourse Claudia De Hueck en arts et sciences au Musée des beaux-arts du Canada, à Ottawa. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages[2],[3],[4],[5],[6],[7].
Expositions solo récentes
2013 : Projections 2006-2010, Oboro, Montréal,
2013 : Consigned for Auction, Artexte, Montréal,
2015 : Lot 94, New Eldorado, Montréal,
2015 : Study for This is Tomorrow II, La Mirage, Montréal.
↑Edwards Elizabeth, « Un savoir incertain. La photographie et le document anthropologique au tournant du xxe siècle », Gradhiva, 2018/1 (n° 27), p. 30-57. (consulter en ligne).
Marc James Léger, An Interview with David Tomas Concerning his Recent Collaboration with Rosika Desnoyers, Part II. Dans ETC MEDIA, Numéro 102, juin, 89-96
Marc James Léger, Homo Academicus Curatorius: Millet Matrix as Intercultural Paradigm Dans OnCurating, 19 June 2013, 14-22.
Vincent Bonin, Language is not Transparent: Translating Conceptual Art in Montréal. Dans Traffic : Conceptual Art in Canada 1965-1980. Vancouver Art Gallery et. al., pp. 48-49.
Vincent Bonin & Grant Arnold, Conceptual Art in Canada 1965-1980 : An Annotated Chronology, 141.
«Vers un nouveau laboratoire des sens et modèle de l’interface human-machine », dans Louise Poissant (dir.), Interfaces et Sensorialité, C.I.E.R.E.C/Publications de l’Université de Sainte-Etienne, Travaux 111, Collection « Arts », et Sainte-Foy, Les Presses de l’Université du Québec, Collection Esthétique, 2003.