De par son engagement anticolonial, son attachement à l'identité musulmane et le grand nombre de martyrs qui y ont été formés, Dar El Hadith est considéré comme une « véritable école du nationalisme algérien durant l’époque coloniale »[6].
Le , en pleine guerre d'indépendance, des tirailleurs sénégalais réquisitionnent et occupent l'école[7].
Références
↑(en) Sheila Crane, « Algerian Socialism and the Architecture of Autogestion », Architectural Histories, vol. 7, no 1, (ISSN2050-5833, DOI10.5334/ah.345, lire en ligne, consulté le )
↑Amar Benamrouche et René Gallissot, « BOUCHAMA Abderrahmane », dans Dictionnaire Algérie, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne)
↑Vincent Bertaud du Chazaud et Soraya Bertaud du Chazaud, L'architecture en Algérie de 1830 à nos jours, Le Moniteur, (ISBN978-2-281-14688-2, lire en ligne)
↑Abderrahmane Bouchène et Jean-Pierre Peyroulou, Histoire de l'Algérie à la période coloniale, 1830-1962, La Découverte, (ISBN978-2-7071-8231-9, lire en ligne)