Il a découvert la photographie à l'adolescence dans le cadre d'un club photo informel à Paris[3].
Entre 2000 et 2006, il travaille sur les autoportraits ; il demande à ses modèles d'utiliser un appareil photo numérique pour prendre leur premier selfie nu. Il cherche à capturer un instant unique : le premier selfie d'une personne, bien avant que les selfies deviennent à la mode[4].[source insuffisante]
Depuis 2007, il produit des nus abstraits, qu'il obtient en projetant des textures et des images sur ses modèles, en utilisant également parfois des mouvements du modèle et de l'appareil photo.
Il utilise un dispositif minimaliste (le corps du modèle, un fond noir et de la lumière)[5] ainsi que des projecteurs et des appareils photos à la pointe de la technique[6].
Livres de photographies
Nus abstraits, Paris, Passage des soupirs, 2011, 171 p. + 1 DVD vidéo de 18 minutes (ISBN978-2-35355-776-9)
Nus abstraits et psychédéliques, Paris, éditions ESI, 2011, 150 p. (ISBN978-2-35355-864-3).
Orgasm : représentations de l'orgasme féminin, Paris, éditions ESI, coll. « Nus artistiques : photographies », 2012, 96 p. (ISBN978-2-8226-0039-2).
↑(en) Claude Maggiori, « Corps électriques », Palace Costes numéro 61, (lire en ligne)
↑Cf. l'article (en) Samantha Matcovsky, « Capturing the Most Beautiful Image with Dani Olivier », sur huffingtonpost, : « he is using top-notch, state-of-the-art light projectors and cameras to capture his own composed design onto the bodies of his dancers »
↑Adil Adli, « Dani Olivier dévoile "Nu corps et âme", son nouveau livre », GQ magazine, (lire en ligne).