Lorsque la course aux armements américano-soviétiques commence, Dagmar Wilson, s'informe et s'inquiète des conséquences de la guerre nucléaire[3]. Elle exhorte ses amies à appeler leurs amies pour obtenir le soutien nécessaire à sa manifestation d'un jour en faveur de la paix et du désarmement[4]. Le , un réseau informel de 50 000 mères, grands-mères et autres femmes manifestent dans 60 villes du pays[4].
Elle incite le président John F. Kennedy à « mettre fin à la course aux armements - pas à la race humaine ». Dagmar Wilson et le mouvement Women Strike for Peace attirent l'attention des dirigeants du monde et de la presse. John F. Kennedy tient compte des positions de Dagmar Wilson et de son mouvement pour faire pression sur les puissances de la guerre froide et les contraindre à signer un traité d'interdiction des essais nucléaires.
La Women Strike for Peace s'oppose ensuite à la guerre du Vietnam. En 1965, le Women Strike for Peace est à nouveau accusé par le HUAC. À la suite de cette nouvelle accusation, Dagmar Wilson renonce à ses responsabilités au sein du mouvement en 1968.
Néanmoins, elle reste investit dans les aux causes antinucléaires et environnementalistes jusqu'à la fin de ses jours[2].
↑(en) Eric Bentley, Thirty Years of Treason : Excerpts from Hearings Before the House Committee on Un-American Activities., Nation Books, , 1 000 (ISBN1560253681), p. 950–951