Il comprend un parc de remisage avec un pont tournant de 23 m, un réservoir de 50 m3, un atelier de levage, une rotonde avec une plaque de 20 m et une bascule duodécuple. Accolés à la rotonde, il dispose également d'un réfectoire pour les agents des machines, d'une lampisterie et d'un four à réguler. Sur ce site, on trouve en outre un bâtiment pour la comptabilité, un atelier d'apprentis, un poste d'aiguilleur, un bâtiment des combustibles, un four à sable, une aire à sable et une voie destinée à une grue à vapeur. Enfin, il existe un W-C et un bâtiment pour le gardien, en limite, et, à l'extérieur, un réservoir de 1 725 m3[2].
Le premier dépôt
La Rotonde vers 1862.
Le parc de remisage vers 1900.
Surchargé avant 1914, il est saturé lors de la Première Guerre mondiale, au point de nécessiter l'achat d'un nouveau site, plus vaste, hors de la ville, pour y créer une annexe[1].
En 1931, le dépôt d'origine près de la gare est totalement évacué[1].
Deuxième dépôt de Nevers
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Technicentre Bourgogne-Franche-Comté
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: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Richon (ingénieur en chef PLM), « Le nouveau dépôt PLM de Nevers », Revue générale des chemins de fer, vol. 51e Année, no 2, , p. 111-127 (lire en ligne)..
André Rasserie, Le Bourbonnais 150 ans d'histoire, Grenoble, Presses et éditions ferroviaires, , 65 p. (ISBN2-905447-05-2), « Le Dépôt de Nevers », p. 33-34..