La Belgique compte 11 697 557 habitants (5 761 410 hommes et 5 936 147 femmes) au [15], soit une densité de 383,2 habitants au km². Depuis la fin des années 1990, le rythme d'accroissement de la population tend à s'accroître essentiellement par l'immigration d'étrangers[16], bien que le solde naturel (entre naissances et décès) se soit accru depuis l'année 2003[réf. nécessaire].
Distribution de la population
NOTE : cette section est en cours de mise à jour
Selon des chiffres publiés par le Service Public Fédéral Intérieur[17].
Au 1er janvier 2022, 11 569 034 personnes précisément vivaient en Belgique.
Le nombre de femmes dépasse celui des hommes en Belgique, respectivement au 5 803 178 (50,8 %) et 5 628 228 (49,2 %) pour un nombre total d'habitants de 11 431 406 à cette date. En Wallonie comme dans la région Bruxelles Capitale le déséquilibre hommes/femmes est un peu plus grand qu'en Flandre avec respectivement un rapport de 48,9 %/51,1 %, 48,9 %/51,1 % et 49,5 %/50,5 %. La ville de Bruxelles est une des rares communes et la seule grande ville qui connaît une majorité d'hommes avec un rapport hommes/femmes.
La plus petite commune du pays reste Herstappe avec seulement 79 habitants.
En Région wallonne
province de Hainaut : 1 345 270 personnes, la plus peuplée.
province de Liège : 1 108 481 personnes.
province de Namur : 495 474 personnes.
province de Brabant wallon : 405 952 personnes.
province de Luxembourg : 286 571 personnes, province la moins densément peuplée du royaume.
Les communes qui comptent le moins d'habitants sont Daverdisse (1 385 personnes), Herbeumont (1 646 personnes), Martelange (1 857 personnes) et Fauvillers (2 316 personnes).
En Région flamande
province d'Anvers : 1 867 366 personnes, la plus densément peuplée.
province de Flandre Orientale : 1 524 077 personnes.
province de Flandre Occidentale : 1 200 129 personnes.
province de Brabant Flamand : 1 155 148 personnes.
province de Limbourg : 876 785 personnes.
Les communes qui comptent le moins d'habitants sont Herstappe (79 personnes), Messines (1 040 personnes), Horebeke (2 024 personnes), Espierres-Helchin (2 066 personnes) et Biévène (2 177 personnes). Toutes des communes à facilités linguistiques (sauf Horebeke), et de ce fait non fusionnées avec d'autres communes en 1977.
Évolution de la population depuis 2000
Chiffres de la population de droit au de chaque année[18]
Année
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
2019
Total Belgique
10 239 085
10 263 414
10 309 725
10 355 844
10 396 421
10 445 852
10 511 382
10 584 534
10 665 140
10 753 080
10 839 905
10 951 266
11 035 948
11 099 554
11 150 516
11 209 044
11 267 910
11 322 088
11 376 070
11 431 406
dont moins de 20 ans
2 419 964
2 412 224
2 408 943
2 407 368
2 408 456
2 414 041
2 428 706
2 441 129
2 452 770
20-64 ans
6 104 028
6 121 455
6 154 390
6 186 086
6 207 845
6 232 311
6 273 659
6 333 343
6 394 370
65 ans et plus
1 715 093
1 729 735
1 746 392
1 762 390
1 780 120
1 799 500
1 809 017
1 810 062
1 819 726
Bruxelles-Capitale
959 318
964 405
978 384
992 041
999 899
1 006 749
1 018 804
1 031 215
1 047 346
1 068 532
1 089 538
1 119 088
1 138 854
1 154 635
1 163 486
1 175 173
1 187 890
1 191 604
1 198 726
1 208 542
dont moins de 20 ans
224 530
226 335
230 400
234 000
236 920
239 819
244 789
248 915
20-64 ans
573 880
578 536
589 465
600 775
606 564
611 419
619 470
629 522
65 ans et plus
160 908
159 534
158 519
157 266
156 415
155 511
154 545
152 778
Wallonne
3 339 516
3 346 457
3 358 560
3 368 250
3 380 498
3 395 942
3 413 978
3 435 879
3 456 356
3 475 671
3 498 384
3 525 540
3 546 329
3 563 060
3 576 325
3 589 744
3 602 216
3 614 473
3 624 377
3 633 795
dont moins de 20 ans
826 170
826 342
827 257
827 683
829 399
831 504
835 018
837 843
20-64 ans
1 952 977
1 958 798
1 968 083
1 975 997
1 984 368
1 994 329
2 008 734
2 030 059
65 ans et plus
560 369
561 317
563 220
564 570
566 731
570 109
570 226
567 977
Flamande
5 940 251
5 952 552
5 972 781
5 995 553
6 016 024
6 043 161
6 078 600
6 117 440
6 161 438
6 208 877
6 251 983
6 306 638
6 350 765
6 381 859
6 410 705
6 444 127
6 477 804
6 516 011
6 552 967
6 589 069
dont moins de 20 ans
1 369 264
1 359 547
1 351 286
1 345 685
1 342 137
1 342 718
1 348 899
1 354 371
20-64 ans
3 577 171
3 584 121
3 596 842
3 609 314
3 616 913
3 626 563
3 645 455
3 673 762
65 ans et plus
993 816
1 008 884
1 024 653
1 040 554
1 056 974
1 073 880
1 084 246
1 089 307
Population par province
Les chiffres s'entendent pour la population de droit au premier juillet[18]
La petite Communauté germanophone de Belgique bénéficie de son autonomie au sein de la Région wallonne. Les données démographiques sont rares, mais suffisantes pour se faire une idée de son évolution récente.
La natalité jadis florissante dans les années 1950-1960 est aujourd'hui la plus basse parmi les quatre entités démographiques de Belgique. Il existe une similarité des comportements reproductifs au sein de régions culturellement proches. En l'occurrence, les données démographiques de la communauté germanophone de Belgique suivent de près l'évolution de l'Allemagne, à l'instar de l'Autriche et de la Suisse alémanique. Elle diverge d'avec le schéma germanique sur un point : un net rebond de la natalité en 2005. Celui-ci ne s'est cependant pas confirmé en 2006.
Au premier , il y avait 12 851 étrangers dans la région, soit 17,87 %. Ces derniers sont en grande majorité des ressortissants allemands (10 429).
Depuis 2000 et jusque 2010, la population de la Belgique connaît une croissance de plus en plus soutenue. Cela est dû, d'une part à une hausse de la natalité (du moins à partir de 2003-2004), mais surtout à une immigration de plus en plus importante. Celle-ci a triplé entre 1998 et 2008[réf. nécessaire], et le solde migratoire de la Belgique atteint en 2008-2009 pas moins des deux tiers du solde migratoire de la France. Une bonne partie de la hausse de la natalité est due à cette immigration d'étrangers en moyenne fort jeunes[citation nécessaire].
À noter que les chiffres de la population totale du pays et du nombre d'immigrants ne comportent que la population de droit et doivent être majorés d'un nombre important de personnes en attente de leur permis de séjour, si bien qu'en , la population de fait du pays atteignait 11 007 020 habitants, dont quelque 60 000 dans le registre d'attente[20].
Évolution de l'accroissement de population depuis 1988
Natalité
Naissances par province de 1980 à 2009
La Belgique connait une dénatalité plus importante en Flandre qu'ailleurs. En effet, en 25 ans, de 1980 à 2005, la Wallonie a connu une baisse de 1 179 naissances, contre 8 585 en Flandre. Quant à Bruxelles, elle affiche un bond de non moins de 2 972 naissances, soit une augmentation de près de 24 %. Cette hausse est essentiellement le fait de l'arrivée nombreux immigrés dans la ville. Ces derniers sont déjà largement francisés ou en voie de francisation, à l'instar de ce qui se passe au sein des communautés immigrées de France et de Suisse romande (voir note [1]).
À partir de 2003-2004, on note une importante reprise de la natalité, surtout en Flandre et à Bruxelles, et ce sous l'influence d'une bonne santé économique du pays - avant tout en Flandre -, et surtout d'une immigration massive d'étrangers. Malgré cela, la Flandre ne parvient pas à récupérer le niveau de natalité de 1980. À Bruxelles par contre, la natalité atteint des sommets de plus en plus élevés. De 2002 à 2009, le chiffre des naissances s'accroît ainsi de pas moins de 30 % à Bruxelles, contre 15,4 % en Flandre et seulement 7 % en Wallonie pour atteindre en 2009 les taux suivants par 1,000 habitants: 17,01 à Bruxelles, 11,10 en Flandre et 11,56 en Wallonie.
Note [1] - Le chiffre de 94 % de francophones à Bruxelles n'est pas officiel, ni vérifiable lors de recensements, toute question concernant l'appartenance linguistique ou la connaissance des langues ayant été bannie des recensements officiels dès 1960. Un moyen assez simple de connaître la répartition culturelle à Bruxelles est de compter les cartes d'identité, lesquelles sont obligatoires sauf pour les enfants et libellées soit en français, soit en néerlandais. Les comptages ainsi effectués récemment montrent une proportion de 94-6 en faveur de la langue française. Cependant, à toute personne ne parlant pas uniquement le néerlandais l'on présente systématiquement la carte d'identité en langue française.[réf. nécessaire] Notons qu'au dernier recensement linguistique effectué en 1947, les francophones n'étaient que moins de 74 %.
Indice de fécondité (au niveau national et par région)
Selon les tables de mortalité annuelles, en âges révolus. Sur base des données du Registre National[27].
Migration et composition culturelle
Au , la population du pays se composait, en prenant en compte la nationalité de naissance des parents, à 67,9 % de Belges d'origine belge, à 19,7 % de Belges d'origine étrangère (les Belges ayant un ou deux parents de nationalité étrangère ou les Belges dont la première nationalité enregistrée est étrangère) et à 12,4 % de non-Belges[28]. En outre, 14,7 % de la population du pays est d'origine extra-européenne tous âges confondus et 24,7 % chez les moins de 18 ans (dont 15,7 % d'origine africaine)[29]. En 10 ans, la part de Belges d'origine belge passe de 74,3 % à 67,9 %. Il existe de fortes différences entre les régions, du moins entre Bruxelles d'une part et la Wallonie et la Flandre d'autre part. Ainsi, pour la région de Bruxelles-Capitale, la part des personnes de nationalité étrangère s'élève à 35,3 % alors qu'elle se situe à 10,4 % en Wallonie et 9,3 % en Flandre[28],[30]. Bruxelles-Capitale a la plus forte proportion de personnes dont la nationalité d’origine se situe en dehors de la zone UE27: 60,7 % contre 56,9 % en Flandre et 37,4 % en Wallonie[30]. En prenant en compte la nationalité de naissance des parents, 74,3 % de la population de Bruxelles-Capitale est d'origine étrangère et 41,8 % d'origine extra-européenne (dont 28,7 % d'origine africaine). Chez les moins de 18 ans, 88 % sont d’origine étrangère et 57 % d’origine extra-européenne (dont 42,4 % d'origine africaine)[29].
Population d'origine étrangère et leurs descendants par pays d'origine
Cette section doit être actualisée.
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.
Ces chiffres proviennent de deux études différentes effectuées à deux dates différentes, c'est la raison pour laquelle les chiffres divergent de façon parfois importante selon le pays d'origine. Ils permettent cependant d'avoir des connaissances plus approfondies de l'importance de l'immigration dans la population belge car les statistiques officielles sur la seule nationalité ne permettent pas de quantifier la population de nationalité belge mais ayant une ascendance étrangère. Il s'agit d'estimation réalisées par des centres de recherche en démographie.
Population d'origine étrangère et leurs descendants par pays d'origine[31],[32]
Pays d'origine
2012
2014
Population totale d'origine étrangère et leurs descendants
89,2 % des habitants d'origine turque ont été naturalisés, tout comme 88,4 % des habitants d'origine marocaine, 75,4 % des Italiens, 56,2 % des Français et 47,8 % des Néerlandais[33],[34], ces chiffres proviennent du travail mené par Jan Hertogen, dont les méthodes sont toutefois contestées par plusieurs de ses pairs[35].
La population dite « allochtone » compte une myriade de groupes culturels (ethniques) dont les plus importants, d'origines nationales italienne, marocaine, congolaise, turque ou espagnole, dépassent numériquement les germanophones même en tenant compte de la diversité culturelle (ethnique) interne de chacun de ces groupes.
Le , le Roi confie au président du Parti socialiste, Elio Di Rupo, la mission d'informateur. Celui-ci rencontre à cette occasion le des représentants des cultes, d’associations philosophiques et des communautés civiles culturelles minoritaires: la communauté maghrébine, la communauté turque, la communauté juive et la communauté africaine subsaharienne. C'est la première fois dans l'histoire de la Belgique qu'une reconnaissance officielle implicite est accordée à une partie de ce que le Québec désigne sous l'appellation « communautés ethnoculturelles »[réf. nécessaire].
Depuis la nouvelle loi de Jean Gol facilitant l'octroi de la nationalité belge par une relaxation des différentes options (naissances, mariages etc.), plus de 1,3 million de migrants sont devenus belges.
Étrangers en Belgique
Population et répartition des étrangers par région[18]
2000
2005
2006
2007
Total Belgique
897.110
870.862
900.473
932.161
Bruxelles-Capitale
273.613
265.211
273.693
283.527
Région wallonne
329.847
308.362
312.578
316.940
Région flamande
293.650
297.289
314.202
331.694
Flux d'entrée d'étrangers par pays et région du monde[36]
2000
2001
2002
2003
Total
57.295
65.974
70.230
68.800
Afrique
9.726
12.879
15.019
14.421
Afrique du nord
6.648
8.351
9.903
9.825
-- Algérie
466
673
710
732
-- Maroc
5.667
7.072
8.495
8.444
-- Tunisie
354
440
494
510
Afrique subsaharienne
3.078
4.528
5.116
4.596
-- R. D. Congo
831
1.425
1.325
1.134
-- Cameroun
249
334
468
456
Asie
7.739
9.056
11.166
10.904
-- Turquie
2.812
2.982
3.872
3.828
-- Chine
815
1.272
2.125
1.575
-- Japon
890
798
820
938
-- Inde
662
852
959
1.101
-- Pakistan
146
283
383
390
Europe
34.316
37.298
37.691
37.775
-- Allemagne
3.037
2.884
2.966
2.942
-- Espagne
1.355
1.528
1.503
1.545
-- France
8.108
8.040
8.135
8.191
-- Grèce
533
554
593
641
-- Italie
2.600
2.439
2.310
2.293
-- Pays-Bas
7.178
8.167
8.404
8.547
-- Pologne
1.134
2.928
2.427
2.086
-- Portugal
1.324
1.347
1.567
1.823
-- Royaume-Uni
3.225
2.660
2.543
2.496
-- Suède
640
515
526
481
-- Roumanie
650
966
994
998
-- Russie
579
645
594
610
Amériques
5.120
6.018
5.787
5.306
-- Brésil
416
487
472
451
-- Canada
566
540
632
628
-- États-Unis
2.794
2.891
2.701
2.483
Total
57.295
65.974
70.230
68.800
Évolution du solde migratoire
Les mouvements d'immigration et de naturalisation constatés au sein de la population étrangère sont assez importants, proportionnellement à la population du pays.
On constate tout d'abord qu'au cours des quinze dernières années, le flux d'immigrants a été constant et tendanciellement haussier, avec un minimum assez élevé de 19.529 en 1997, et un maximum de 50 772 personnes en 2006. Au total, en quinze ans, ce sont plus de 480 000 immigrants qui sont venus s'ajouter aux dix millions (plus ou moins) de résidents.
Ce flux d'immigrants est particulièrement important au niveau de la région de Bruxelles-Capitale où ce mouvement tend à s'accentuer depuis le début des années 2000. La ville reçoit actuellement plus de 40 % de la totalité des immigrants en Belgique, alors qu'elle ne compte que moins de 10 % de la population du pays. À elle seule elle reçoit autant d'immigrants que toute la région flamande six fois plus peuplée.
Le droit belge de la nationalité était fort restrictif jusqu'en 1984, et basé sur le jus sanguinis paterni (on naissait belge si son père était belge). Depuis lors le code de la nationalité a subi par trois fois d'importantes modifications et l'accès à la nationalité belge est aujourd'hui extrêmement libéral. Il s'agit même d'un des droits les plus libéraux en la matière (d'après Bauböck et al., 2006). Un exemple est la durée de résidence de seulement trois ans requise pour la procédure de naturalisation. Elle constitue la durée de résidence la plus courte requise en la matière par un État européen[citation nécessaire]. Le tableau ci-dessus montre le nombre des acquisitions de la nationalité ces dernières années. Le pic des années 2000-2001 est lié à une modification du code de la nationalité intervenue en 1999 avec effet rétroactif.
Le nombre d'acquisitions de la nationalité a été tel qu'il occulte partiellement le poids réel de l'immigration de certains pays. Ce sont surtout les citoyens originaires de pays extra-européens qui ont bénéficié des nouvelles dispositions légales concernant la naturalisation. Ainsi, au sein des communautés d'origine marocaine, turque et congolaise, respectivement 67, 70 et 64 % des personnes étaient devenues belges en [citation nécessaire].
Pour analyser l'impact de l'immigration dans le pays, on ne peut plus recourir aux statistiques basées sur le nombre d'étrangers. Une meilleure approche est constituée par les statistiques regroupant toutes les personnes nées étrangères, c'est-à-dire l'ensemble des étrangers et des naturalisés[44].
Le résultat de cette situation est, que le nombre de naissances d'enfants étrangers se réduit de plus en plus. Après avoir atteint un maximum de 19,500 naissances en 1980, ce chiffre est tombé à un plus bas de 7.203 en 2003, pour remonter quelque peu par après. Désormais l'immense majorité des naissances issues de l'immigration sont belges[45].
Population née étrangère
Origine
Nombre (01-01-2005)
Union européenne à 15
805.418
Les 12 nouveaux membres de l'UE
64.156
Reste de l'Europe
22.605
Turquie
138.639
Maroc
242.802
R. D. du Congo
38.216
Autres pays du monde
258.639
Total général
1.570.475
Acquisitions de nationalité par pays et région du monde[36]
1996
1999
2003
Total
24 425
24 273
33 785
Afrique
9 973
13 159
16 088
Afrique du nord
8 910
10 009
11 852
-- Algérie
558
520
826
-- Maroc
7 905
9 133
10 565
-- Tunisie
406
301
383
Afrique subsaharienne
1 063
3 150
4 236
-- Cameroun
6
85
214
-- RDC
569
1 890
1 651
Asie
8 892
6 076
7 943
-- Chine
158
154
251
-- Inde
157
172
296
-- Pakistan
115
131
270
-- Turquie
7 066
4 402
5 186
Europe
4 710
4 046
8 195
-- Bosnie
6
93
405
-- Espagne
262
137
299
-- France
547
363
698
-- Italie
1 940
1 187
2 646
-- Pays-Bas
264
234
522
-- Pologne
207
253
460
-- Yougoslavie
378
514
992
Amériques
333
444
1 054
-- Brésil
26
36
124
-- Colombie
23
59
133
-- États-Unis
33
53
145
Total
24 425
24 273
33 785
Mouvements au sein de la population étrangère en Belgique, à Bruxelles et au Brabant[46]
↑Le taux de variation de la population 2020 correspond à la somme du solde naturel 2020 et du solde migratoire 2020 divisée par la population au 1er janvier 2020.
↑L'indicateur conjoncturel de fécondité (ICF) pour 2018 est la somme des taux de fécondité par âge observés en 2018. Cet indicateur peut être interprété comme le nombre moyen d'enfants qu'aurait une génération fictive de femmes qui connaîtrait, tout au long de leur vie féconde, les taux de fécondité par âge observés en 2018. Il est exprimé en nombre d’enfants par femme. C’est un indicateur synthétique des taux de fécondité par âge de 2018.
↑Le taux de mortalité infantile est le rapport entre le nombre d'enfants décédés à moins d'un an et l'ensemble des enfants nés vivants.
↑L'espérance de vie à la naissance en 2018 est égale à la durée de vie moyenne d'une génération fictive qui connaîtrait tout au long de son existence les conditions de mortalité par âge de 2018. C'est un indicateur synthétique des taux de mortalité par âge de 2018.
↑L'âge médian est l'âge qui divise la population en deux groupes numériquement égaux, la moitié est plus jeune et l'autre moitié est plus âgée.
↑Les recensements linguistiques officiels étant interdits en Belgique, ces chiffres sont à considérer avec précaution.
↑Recherches sur la reproduction et la mortalité de l'homme aux différents âges, et sur la population de la Belgique, Adolphe Quételet et Édouard Smits, 1832[réf. non conforme].