D'une lignée prestigieuse (Cassini I et Chanel II par Landgraf I), Cumano est né dans la région du Holstein. Découvert par le cavalier belge Marc van Dijck dès l'âge de 3 ans, il est installé en Belgique. Marc van Dijck éduque et monte Cumano en concours jusqu'en 2002. d'après lui, « Cumano a toujours été un cheval exceptionnel, dès l'âge de trois ans, puis à quatre ans, à cinq ans et après. Un cheval doté de moyens extraordinaires, particulièrement respectueux et, ce qui ne gâte rien, très gentil ».
En 2000, Cumano est loué au haras de Saint-Lô en France. Lors de ce passage en France, il est monté par Julien Épaillard et Florian Angot, mais ceux-ci ne sont pas convaincus. Ils reconnaissent sa force exceptionnelle mais lui reprochent d'être difficile et non respectueux[1].
Cumano a de nouveau été monté en concours en France par un cavalier français, Pascal Renard, en mars et [2].
En 2002, Léon Melchior, patron de du haras de Zangersheide, loue Cumano pour le valoriser et le confie à Jos Lansink, un cavalier de l'élevage. En 2004, Cumano est choisi aux dépens d'un cheval de l'élevage pour les Jeux olympiques d'été de 2004 à Athènes. Ce choix provoque la rupture entre Jos Lansink et son patron. Le cavalier de Cumano s'installe à son compte dans de nouvelles écurie avec sa monture et depuis, le couple ne s'est pas séparé. Il a gagné les jeux équestres mondiaux de 2006.