Compagnie du chemin de fer de Saint-Rambert à Grenoble
Les statuts de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Rambert à Grenoble, sont approuvés par un décret du . Elle est créée pour reprendre la concession d'un « chemin de fer de Saint-Rambert à Grenoble », tel qu'il est défini par un décret du annexé au cahier des charges, conformément aux termes de la loi du accordant la concession[1].
le , un prolongement de Rives à Pique-Pierre à l'entrée de Grenoble sur la commune de Saint-Martin-le-Vinoux.
La Compagnie des chemins de fer du Dauphiné
Le 5 décembre 1857, la Compagnie du chemin de fer de Saint-Rambert à Grenoble change de dénomination pour prendre celle de Compagnie des chemins de fer du Dauphiné[1] avant d'être absorbée par le PLM le 11 juin 1859[2].
Le 1er juillet 1858, l'ouverture du pont traversant l'Isère permet de prolonger de 3 km le chemin de fer jusqu'à Grenoble.
↑J. B. Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlemens et avis du Conseil d'État, Tome 59e. Année 1859. Lire en ligne
Voir aussi
Bibliographie
Adolphe Louis Joseph Demeur, Les chemins de fer français en 1860 : Statuts des compagnies - notices historiques - situations financières, 1860, 238 p. (lire en ligne), « Compagnie des chemins de fer du Dauphié », p. 202-219.