L'intercommunalité a été créée par un arrêté préfectoral du [2].
L'article 35 de la loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010[3] « de réforme des collectivités territoriales » prévoit toutefois d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre, dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants.
L'intercommunalité exerçait les compétences qui lui avaient été transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le Code général des collectivités territoriales. Il s'agissait de :
Zones de développement éolien ;
Environnement et cadre de vie : Assainissement collectif et non-collectif, collecte et traitement des ordures ménagères, gestion du bassin versant du Durgeon ;
Développement et aménagement économique : zones d'activité, développement économique ;
Équipements sportifs, activités périscolaires ;
Aménagement de l'espace : schéma de cohérence territoriale (SCOT), programmes globaux de développement et de systèmes de gestion du territoire communautaire ;
Afin d'assurer la réalisation de ses compétences, la communauté de communes percevait une fiscalité additionnelle aux impôts locaux des communes, avec fiscalité professionnelle de zone et sans fiscalité professionnelle sur les éoliennes[2].
Afin de financer ce service, elle collectait une redevance d'enlèvement des ordures ménagères[2] (REOM).