L'intercommunalité a été créée par un arrêté préfectoral du [2].
Une première réflexion en vue de la fusion des trois petites intercommunalités « Agir Ensemble », « Saône Jolie » et « des Six Villages » a été menée en 2006[3],[4], sans aboutir alors à une mise en œuvre.
L'article 35 de la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010[5] « de réforme des collectivités territoriales » prévoit toutefois d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre, dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants.
Cette fusion est effective depuis le et a permis la création, à la place des intercommunalités supprimées, de la communauté de communes Terres de Saône[7],[8].
Territoire communautaire
Géographie
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Composition
La communauté de communes regroupait en 2013 les 13 communes suivantes :
L'intercommunalité exerçait les compétences qui lui avaient été transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le Code général des collectivités territoriales. Il s'agissait de :
Environnement et cadre de vie : assainissement non collectif, collecte et traitement des ordures ménagères ;
Études de faisabilité relatifs aux services à la personne ;
Développement et aménagement économique : zones d'activité, actions de développement économique ;
Développement et aménagement social et culturel ;
Équipements ou d'établissements culturels, socioculturels, socio-éducatifs, activités péri-scolaires, culturelles ou socioculturelles ;
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité percevait la fiscalité professionnelle unique[2] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
Elle percevait également la redevance d'enlèvement des ordures ménagères (REOM), qui finançait ce service[2].
↑Jean-Claude Chevailler et Philippe Signoret, « Logiques d’acteurs et intercommunalité en Franche-Comté », Revue géographique de l'Est, vol. 47 / 3 « La Franche-Comté ou la réalité d'un territoire en interface », (ISSN2108-6478, lire en ligne).