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La Commission Nationale Musiques actuelles (CNMA) a été créée en décembre 1997, aux Rencontres Trans musicales de Rennes, par la ministre de la culture Catherine Trautmann[1], qui en confie la mission à Alex Dutilh (alors directeur du Studio des Variétés, en parallèle à sa qualité de rédacteur en chef du magazine JazzMan. Sa mise en place a lieu en janvier 1998[2]. Ses travaux ont pour objectif le développement et la reconnaissance des musiques actuelles (variétés, jazz, rap, techno...) ainsi que la création d'un Centre national de la musique, qui verra le jour le 1er janvier 2020.
Le rapport de synthèse des recommandations fait 46 pages[3]. Il est complété de nombreuses annexes dont le rapport de la commission nationale consultative du jazz et des musiques improvisées conduite en parallèle. Co-écrit par Alex Dutilh et Didier Varrod, il est rendu en septembre 1998.
Le rapport fait ressortir 4 mots clés donnant cohérence à la politique à mettre en œuvre : reconnaissance, proximité, pluralisme et rééquilibrage. Sur un plan financier, il chiffre les besoins d’aide pour le secteur dans une enveloppe comprise entre 250 et 300 millions de francs, soit un quintuplement des aides apportées à l’époque au secteur.