Saint-Moreil par le biais du moulin banal qui lui appartenait
Les biens de la commanderie se trouvaient principalement dans la Creuse et en Corrèze mais au XVIIIe siècle, on constate que le commandeur percevait également quelques rentes en Haute-Vienne attestées par les reconnaissances de ses tenanciers notamment à:
Aimé-Philippe (Marie-Philippe) de Marcellanges Reçu le 17 juin 1765, commandeur de Chantoin (1765)[9], dernier commandeur de Charrières
1778-1789
Sauvegarde
L'église est désacralisée en 1922, est vendue à des particuliers. Tombée en ruine, elle est sauvée par les Hannoyer qui achètent le terrain dans les années 1970. Une associtation a été créée en 2019 pour sauver l'édifice. La chapelle fait l'objet d'interventions de préservation depuis une décennie[10].
↑Jean Tricard, Le village des limousins : études sur l'habitat et la société rurale du Moyen Âge à nos jours, Limoges, Presses Univ., , 532 p. (ISBN978-2-8428-7258-8, présentation en ligne), p. 346
Marie-Claire Pontier, Archives départementales de la Haute-Vienne : Fonds des commanderies de l'ordre de Malte (1195-1791) - Inventaire analytique, Limoges, (lire en ligne), p. 11
Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze, , p. 94-98, lire en ligne sur Gallica
Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, vol. 35, Le Cante, (présentation en ligne), p. 677-692
Jules Tixier, « La commanderie de Charrières », dans Paul Ducourtieux, Grand-Almanach de la Creuse,
Paul Ducourtieux, Bulletin de la société archéologique et historique du Limousin, vol. 48, , p. 250, lire en ligne sur Gallica
Bulletin de la société des lettres, sciences et arts de la Corrèze, vol. 6, , 227 p., p. 94-98, lire en ligne sur Gallica