Coco, coco, coco frais ! est initialement publiée dans la revue La Mosaïque du , sous le pseudonyme Guy de Valmont[1].
À la fin du XIXe siècle, le marchand ambulant de coco vend une boisson à base de citron et de réglisse, aussi appelé « le champagne du pauvre[2]. ’
Résumé
À la mort de son oncle, le narrateur reçoit un legs cocasse. Cinq cents francs pour acheter un fusil de chasse, cent francs à remettre au premier marchand de coco qu’il rencontrera et un petit manuscrit explicatif.
Dans ces quelques pages, l’oncle raconte comment, à chaque évènement décisif de sa vie, un marchand ambulant de coco avait eu une influence sur les évènements. Enfant, quand il est renversé par un fiacre, adolescent, quand il part à la chasse, le jour où il rencontre sa femme et, enfin, quand un marchand de coco l’empêcha de devenir préfet.
Le lendemain sur les Champs-Élysées, il donne les cent francs à un vieux marchand de coco qui le remercie : « Grand merci, mon petit homme, cela vous portera bonheur ».