Elle fit ses débuts à la Comédie-Française en 1851 : « Ce fut son nez qui la classa du premier coup dans les femmes arrivées et mûres » (Francisque Sarcey). « Reine des duègnes » de son époque, « dans ses rôles de duègne, [elle] scandait ses phrases avec mauvaise humeur en paraissant piquer son interlocuteur de son grand nez » (Boni de Castellane).