En 1982, il revendique 1 350 adhérents[4]. En 1983, alors qu'il rassemble une centaine d'antennes locales en France, Le Monde le présente comme « un centre technique de préparation de l'alternance politique », où de multiples personnalités de l'opposition de droite à la majorité de François Mitterrand interviennent[2]. Cette année-là, lors d'une convention[5], le cercle présente un manifeste comportant 89 propositions législatives[2].
En novembre de la même année, il astreint par voie de justice le groupe adverse Espaces 89[6], d'obédience socialiste, à changer de nom pour éviter toute confusion[7].
Durant la nuit du Nouvel An 1984, ses locaux sont cambriolés[8].
Le Club 89 a travaillé avec d'autres cercles, notamment le Club de l'horloge (1982[10] et 1989)[11], les clubs Perspectives et Réalités[12] et le Conseil pour l'avenir de la France (1985)[13].
Alain Juppé, La Double Rupture : redressement de l'économie, responsabilité pour chaque Français, liberté pour l'entreprise, confiance pour la France, Paris, Economica, , 154 p. (ISBN2-7178-0607-5).
L'Europe en libertés, Paris, Albatros, coll. « Club 89 », , 206 p. (BNF34839875).
Une stratégie de gouvernement, Paris, Albatros, coll. « Club 89 », , 200 p. (BNF34902951).
Michel Aurillac et Nicole Catala (dir.), Pour une société de progrès et de liberté : propositions, Paris, Albatros, coll. « Club 89 », , 284 p. (BNF35417889).
Les Ambiguïtés de l'Europe sociale, Paris, Club de l'horloge-Club 89, , 18 p. (ISBN2-908046-11-3).