C'est là qu'il ordonna prêtre le 13 août 1815 Jean-Marie Vianney, futur saint curé d'Ars[1]. Le 19 août 1810, il consacra le cimetière Saint-Roch, en remplacement du précédent cimetière installé en 1800 sur les bords du Drac et jugé trop éloigné de la ville. En 1812[2], il ouvrit le Petit Séminaire installé sur le quai Perrière et qui déménagea en 1816 sur l'autre rive de l'Isère dans l'Hôtel de Franquières. Quelques mois après sa mort, cette institution du Petit Séminaire s'installait définitivement dans le quartier du Rondeau, où de nos jours ces locaux font partie du lycée Vaucanson.
Armes
De sable chargé de 8 coquilles d'argent en orle, à l'écu d'or en abîme chargé de 36 croisettes recroisetées au pied fiché de sable[3].
Bibliographie
Abbé Jean Godel, La reconstruction concordataire dans le diocèse de Grenoble après la Révolution (1802-1809), CNRS, Grenoble 1968.
Abbé David de Lestapis, Mgr Claude Simon, Revue Annales d’Ars n. 336, p. 9, janvier-février 2012.
Notes et références
↑À ses assistants qui s’excusaient de l’avoir « dérangé pour bien peu de chose », il fit cette célèbre réplique : « Ce n’est pas trop de peine pour ordonner un bon prêtre ».