Claude Margat, après des études supérieures en philosophie et en musique découvre à l'âge de 25 ans le Livre de la voie et de la vertu de Lao-Tseu qui sera une révélation. Imprégné de culture chinoise, et surtout de taoïsme, proche de Bernard Noël, de François Cheng et de Yolaine Escande, il a été plusieurs fois missionné en Chine dans le cadre des échanges culturels entre les deux pays.
Il peint de grands paysages à l'encre de Chine depuis 1990, notamment des marais de Rochefort où il est né et a longtemps vécu[2].
Ce que la langue continue, poèmes, éd. JM Laffont, 1981
Tous les jours, roman, éd. Flammarion, 1985
Toi, tu marcheras devant, essai poétique, avec Jean-Luc Parant, éd. Apsara chez l'auteur, 1984
Quelque chose, poèmes, éd. Les petites allées, 2014
L'homme qui marchait avec moi, roman, éd. de La Différence, mai 2014
En marge d'une vie, essai illustré sur un parcours personnel du Dao (voie) de l'écriture et de la peinture, préface de Bernard Noël, éd. l'Atelier du grand tétras, 2016
L'Enseignement du vide et de la mort, éd. Libertaires, 2017
Par la peau (livre d'artiste avec le peintre J. Ferrand), éd. Les petites allées, 2018
L'Échappée chinoise (conversations avec Olivier Desgranges), préface de Bernard Noël, Éditions du Canoë, 2019
Reconnaissance
Prix Madeleine La Bruyère 2013 de l'Académie de Saintonge pour Matin de silence, et pour l'ensemble de son œuvre.