Après avoir fait partie de l'équipe de Hara-Kiri à ses débuts[2], il publie en 1963 sous le pseudonyme de Christian Libos le polar Impasse au Valais, son seul roman.
Toxicologue de renom, il publie un ouvrage de vulgarisation sur ce sujet, traduit en anglais.
Amateur d'armes lui-même, il publie une nouvelle intitulée L'Amateur d'armes (Fiction no 97) qui raconte l'histoire d'un envoyé du futur dans un stand de tir du présent ; défenseur de la judaïté, son œuvre est souvent un éloge allusif du sionisme[2].
Après le décès de Christine en 1979, il fait encore publier quelques livres de sa compagne, notamment un recueil à deux mains où leurs nouvelles se répondent. De plus en plus dépressif, il se suicide le 9 septembre 1982, après avoir abattu sa mère et empoisonné ses deux filles, Françoise (16 ans) et Danielle (13 ans)[3].