Claire Renard est née le à Boulogne-Billancourt. Elle est la mère du romancier Swann de Guillebon, né en 1972[3],[4].
Jusqu'à l’âge de six ans, elle est élevée par une nourrice, Yaya, dans la Creuse, à laquelle elle est ensuite retirée pour être ramenée dans un appartement bourgeois de Paris. Elle raconte cet épisode dans son livre Et si tu n'existais pas (2017)[5].
Claire Gallois est écrivain à partir de 1965 et chroniqueur littéraire dans des magazines Paris Match, Elle, Marie-Claire ainsi que pour le quotidien Le Figaro[3].
En 1997, son éditeur Albin Michel la licencie. Claire Gallois s'inscrit à l'ANPE et publie l'année suivante L'Honneur du chômeur dont elle verse les revenus à l'association Agir ensemble contre le chômage[9],[10].
Controverse sur les jeux vidéo
Dans une chronique publiée dans Le Point fin novembre 2012, Claire Gallois s'attaque aux jeux vidéo, qui créeraient d'après elle de la violence et des tueurs, et propose par conséquent la mise en place d'une taxe spécifique[11]. Cette position fait l'objet de railleries et de critiques[12],[13].
Publications
À mon seul désir, Buchet-Chastel, 1965, réédité en 1992
Des roses plein les bras, Buchet-Chastel, 1966
Une fille cousue de fil blanc, Buchet-Chastel, 1970, réédité en 1995
↑Claire Gallois, présidente du jury 2004, L'histoire du Prix Fémina, Réception en l’honneur des 100 ans du Prix Femina au ministère de la culture et de la communication, 7 décembre 2004, [lire en ligne].