Il existait autrefois un cimetière autour de l'église Saint-André, celui-ci disparaît au cours du milieu du XXe siècle, ses premières traces remontaient au XIIIe siècle. Le maire décide le de la translation du cimetière, mais meurt quelques jours plus tard. Devant l'opposition de la population, le nouveau maire revient cette décision, la dernière inhumation a lieu le . Des tombes sont ensuite déplacées de l'ancien cimetière vers le nouveau[1].
Tombe du Commonwealth.
Tombe collective des résistants.
La partie ancienne.
Tombe regroupant dix soldats morts pour la France.