Au fil du temps, son nom a évolué passant de Droniou, devenu Bodigneau au XVe siècle, puis dans sa forme actuelle Bodinio. Le château faisait partie des places fortes du système de défense de la Cornouaille[1].
Vers 1600, Jeanne de Bodigneau, épouse de François de Kerc’hoent (seigneur de Kergournadech), décide de reconstruire le manoir[1].
Durant la Révolution française, le bien est confisqué et le 18pluviôse de l’an II () acheté par François Thomas Antoine Hernio, chirurgien puis maire de Clohars-Fouesnant, .
Au cours du XVIIIe siècle, le bâtiment est en grande partie démantelé et ses pierres fourniront les matériaux pour la construction du château de Cheffontaines.
Situation
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En , de la terre à porcelaine ou de l'argile de porcelaine fut découverte sur une étendue de plusieurs hectares près d'un cours d'eau[2].
Architecture
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Louis Le Guennec et Henri Waquet (dir.) (ill. René Quillivic), Guide du syndicat d'initiative de Cornouaille, Quimper, Impr. de Mme Bargain et Cie, , 106 p. (OCLC457951991, BNF31621857), « Bénodet, Gouesnac'h, Clohars, Pleuven Fouesnant, Beg-Meil, La Fôret, Saint-Évarzec (60 km environ) »